ASTROLOGIE - CABINET DE VOYANCE PAR TELEPHONE

 

 

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L'astrologie englobe différents systèmes de croyances qui repose sur l'interprétation des phénomènes célestes, organisé en vue d'obtenir des interprétations et prédictions des événements humains, collectifs ou individuels. Les scientifiques considèrent l'astrologie comme une pseudo-science ou superstition.

On rencontre souvent l'affirmation selon laquelle les Anciens ne la distinguaient pas de l'astronomie. Cette idée doit cependant être nuancée : les astronomes grecs de l'antiquité, même s'ils ne l'affirmaient pas explicitement, faisaient clairement la différence. Il est très significatif, par exemple, que Ptolémée traite d'astronomie et d'astrologie dans deux ouvrages distincts, respectivement l'Almageste et le Tetrabiblos. Nulle trace d'astrologie dans l'Almageste ! Mais il est vrai que la distinction entre astronomie, astrologie et physique ne sera clairement exprimée qu'à partir de Kepler et Newton. Des scientifiques rigoureux comme Kepler ne l'ont pas moins pratiquée officiellement à la demande des puissants… assurant ainsi quelques subsides à leurs recherches.

Quoi qu'il en soit, au cours des temps, l'astronomie scientifique s'est de plus en plus démarquée de l'astrologie, jusqu'à finir par exister de manière autonome.

La réciproque n'est pas vraie : par la force des choses, l'astrologie s'est toujours nourrie des découvertes de l'astronomie. En effet, l'astrologie se fonde sur des calculs astronomiques pour établir les thèmes astraux, et souhaite utiliser les éphémérides les plus précises possibles pour déterminer les positions des corps célestes. En outre, avant la diffusion à grande échelle de ces éphémérides (ou des logiciels qui les incluent), l'astrologue devait lui même, et souvent à l'oeil nu, déterminer les positions astrales. Il fallait donc nécessairement être aussi astronome avant de prétendre être astrologue.

Sauf exceptions (voir débats et controverses ci-dessous), quand les astrologues emploient le terme de "science" pour qualifier leur pratique, cela ne doit pas être entendu au sens moderne de science rationaliste, matérialiste, et rigoureuse, mais au sens plus général de moyen de connaissance du monde, aussi bien par des voies rationnelles qu'irrationnelles. Habituellement, l'astrologie ne prétend donc pas répondre aux critères d'objectivité et de rationalité scientifique.

En effet, l'astrologie répertorie de façon analytique un grand nombre de traits symboliques qu'elle associe à des positions célestes précises, mais d'autre part, du fait même de la complexité des configurations symboliques qui résultent de la combinaison de ces multiples correspondances analogiques, l'astrologue donne également dans sa pratique une grande place à l'intuition, c'est-à-dire au fait d'atteindre à une connaissance globale sans passer par un raisonnement purement déductif. Cette écoute intuitive n'est pas simplement livrée à elle-même : l'astrologue l'éduque par l'étude approfondie du symbolisme astrologique.

On voit donc que la pratique astrologique de terrain fait appel à des paramètres souvent extérieurs à l'astrologie stricto sensu, ce qui rend très aléatoire toute validation de l'astrologie au niveau d'une consultation. Au final, on ne saurait valider l'ensemble de ce qui est présenté comme astrologique comme relevant d'une seule et même épistémologie.

En outre, plusieurs sens sont attachés au terme même d'astrologie. La distinction de ces différents sens s'avère nécessaire pour clarifier un certain nombre de débats. En effet, certains astrologues considèrent leur pratique comme seulement capable de décrire les traits de la personnalité d'un individu; d'autres assurent qu'il est possible de décrire les différents cheminements de la vie d'une personne, voire son lointain avenir.

Par ailleurs, l'établissement du thème astral de naissance fut d'abord réservé à une élite sociale, avant que l'on en vienne à considérer que le moment de naissance de chaque personne fait sens astrologiquement. Cela réservait l'utilisation de l'astrologie à une certaine élite, marquée par des carrières exceptionnelles, au delà du niveau de la vie quotidienne, et faisait de l'astrologie un savoir réservé à l'usage de castes privilégiées, dotées d'un pouvoir de décision déterminant le sort de la masse.

Masse qui cherchait plutôt les signes de son destin dans les diverses pratiques divinatoires, puis plus tard dans l'astrologie simplifiée des horoscopes des journaux (qui prend uniquement en compte les interactions avec le signe zodiacal de naissance, et ignore les autres facteurs astrologiques).

L'usage populaire du terme astrologie renvoie presque toujours à l'astrologie occidentale, à laquelle le présent article est principalement consacré.

Ses versions populaires sont les horoscopes des revues, ou les affinités des signes du zodiaque. Si elles sont généralement considérées comme des échos lointains et déformés de l'astrologie historique, elles en restent sa manifestation et son expression la plus répandue.

Les astrologues qui s'interrogent sérieusement sur l'astrologie considèrent quant à eux leur pratique comme une discipline, un art, une technique, ou un système d'interprétations de l'horoscope, visant à comprendre la place de chaque être vivant dans les "plus grands touts" qui l'incluent.

De ce point de vue, l'astrologie a pour plus haute fonction de donner un sens à la vie de chaque être humain par rapport aux lieu et temps dans lesquels se déroule cette vie. Le lieu étant tout ce qui existe, donc l'univers entier, mais plus précisément, le système solaire.

Étymologie

Le mot « astrologie » vient du grec αστρολογία, de άστρον, astron, (« étoile ») et λόγος (logos), dont la signification est liée à la notion de « discours » (λογία est un suffixe désignant d'une manière générale une discipline ou une matière d'enseignement). Étymologiquement, l'astrologie est donc le « discours sur les astres » : elle s'intéresse principalement au soleil et aux planètes du système solaire.

Cartomancie

La cartomancie est un art divinatoire utilisant le tirage des cartes : divination par les cartes ou carto-mancie. Les cartomanciennes sont parfois appelées diseuses de bonne aventure.

Historique

On trouve des traces de la cartomancie dès le XVe siècle siècle en Espagne et dès le XVIe siècle siècle en Italie : il serait cité par Pic de la Mirandole et surtout en 1540 par Francesco Marcolini dans Le sorti intitolate giardino d’i pensieri qui utilise des cartes et un livre d'oracles. En Espagne encore en 1556, Martin de Azpilcueta est l'auteur du Compendio del Manual de Confessores où il condamne clairement la divination en utilisant des cartes.

La cartomancie au siècle des Lumières dans la période pré-révolutionnaire atteint un apogée en France et est révélée à un très large public avec Etteilla (Jean-Baptiste Alliette, 1738-1791) sous le nom de cartonomancie pour le jeu de 32 cartes (Le petit Etteilla ou L'Art de tirer les cartes 1753 publié en 1791) puis des Tarots qui se base sur des travaux antérieurs : l'interprétation des cartes du Tarot de Marseille par Antoine Court de Gébelin. Cette cartomancie sera particulièrement reprise par la Sybille de la Révolution et de l'Empire, Marie-Anne Lenormand, plus connue comme Mademoiselle Lenormand, sur le jeu de 52 cartes - qui prétendra avoir conseillé tout ce que la période dans laquelle elle a vécu a connu de célébrités politiques ou artistiques (abusivement pour beaucoup de noms cités). Après la mort de Mademoiselle Lenormand et durant les siècles qui suivirent, de nombreux jeux de cartes - illustrés, à l'inverse des jeux de cartes classiques à enseigne française qu'utilisait Mlle Lenormand - seront publiés dans plusieurs pays de l'Europe sous les appellations de Jeu de Mademoiselle Lenormand ou Grand Lenormand ou encore Le Petit Lenormand, etc...

La cartomancie telle qu'elle est entendue à la fin du XXe siècle siècle et au début du XXIe siècle siècle relève principalement d'un héritage de la cartomancie relancée par Court de Gébelin et Etteilla ; l'emploi assez généralisé (mais pas exclusif) du Tarot de Marseille et de ses dérivés (Wirth, Rider-Waite, etc...) est principalement dû à Court de Gébelin. Toutefois au XXIe siècle siècle, la cartomancie emploie toujours les tarots de Marseille ou de Besançon, les tarots modernes, les jeux de cartes standardisés à enseigne française ou espagnole, et finalement tout type de jeu de carte. Le XXe siècle siècle a aussi vu le développement de nombreux jeux de cartes sous la forme d'oracles divinatoires, qui ne conservent aucune référence visible aux cartes standardisées ou historiques ni aux tarots.

Notons pour finir qu'à aucune époque il n'a pour le moment été trouvé de preuve qu'un jeu de carte à usage ludique ait été également créé pour une utilisation en cartomancie.

En France, en 1948, Paul Marteau, alors directeur des cartiers Grimaud, publie Le Tarot de Marseille, un autre ouvrage qui aura une importance dans les pratiques de cartomancie liées au tarot, tout comme la version du tarot de Marseille de Paul Marteau (en fait une modification d'une copie tardive par Lequart du tarot de Nicolas Conver) aura un rayonnement international qui marqua une étape importante dans l'histoire de la cartomancie, tout comme dans celle de la taromancie et de la tarologie.


Exemple d'interprétation symbolique des cartes


Le symbolisme du cœur

Le cœur aurait été dessiné sous la forme d'une coupe : calice ou graal.

Il évoquerait notamment l'enjeu spirituel des croisades, à savoir la conquête du Saint Sépulcre : Jérusalem en Terre Sainte.

Au sens propre, le cœur renverrait principalement à l'organe cardiaque et à la circulation sanguine.

La notion de sang évoquerait les liens de sang et par extension de famille.

Au sens figuré, le cœur symboliserait l'affectif sous ses aspects les plus divers.

Cœur = Coupe - liens de parenté - liens affectifs


Le symbolisme du carreau

Le 4 de carreau au sens littéral, c'est le projectile (sorte de flèche) dans l'arbalète de l'arbalétrier.

Ce carreau apparaît de façon stylisée comme un bâton terminé par une pointe tranchante sur le Tarot marseillais tandis que certains des plus anciens tarots italiens le représente avec pointe en fer et empan de plumes.

Le symbole de la flèche est parlant : elle permet d'atteindre un objectif au loin ; elle se déplace d'un point à un autre.

Par extension, déplacement d'une personne (trajets, voyages) ou d'une information (lettre, téléphone, internet).

Sens de déplacement, de mouvement donc d'énergie.

Carreau = Bâton - mouvement - communication - énergie


Le symbolisme du pique

Les piques proviendraient de l'emblème des épées : sabres courbes ou cimeterres sarrasins et épées droites des croisés sur les anciens tarots.

Expression du combat au corps à corps, les épées signifieraient d'abord le pouvoir de l'action offensive.

Mais l'épée symboliserait aussi le glaive de Justice ; à ce titre, le pique indiquerait l'action du Pouvoir qui tranche et décide, la loi.

D'après une autre symbolique, celle de l'instrument manufacturé par l'homme, les épées se rapportent également à l'industrie, à la technique et, par élargissement, à la réflexion et à l'intellect : glaive du discernement.

Piques = Epées - pouvoir de l'action - action du pouvoir


Le symbolisme du trèfle

Le mot "trèfle" possèderait au moins deux sens courants.

Le premier correspondrait au trèfle à quatre feuilles : synonyme de chance, de protection pour celui qui le trouverait. Le second proviendrait de l'argot "avoir du trèfle ", c’est-à-dire de l'argent.

Le Tarot de Marseille le figurerait sous la forme d'un denier (ancienne monnaie romaine puis française) ; les cartes mauresques offrent l'image d'un médaillon rond transformé dans les anciens tarots italiens en un bouclier protecteur.

Le trèfle véhiculerait donc deux sens ; il serait ambivalent : l'écu - monnaie (sens financier) ou l'écu - bouclier (sens de talisman).

Trèfle = Denier - écu - argent - talisman


Le système de personnification

D'un emploi très répandu, il repose sur un système simple.

Huit cartes dont quatre à Cœur et quatre à Trèfle vont permettre au cartomancien de désigner une personne en tenant compte de trois critères : sa couleur de cheveux (au moment de la consultation), son âge et son sexe.

Les Cœurs du fait de leur couleur rouge identifieront quelqu’un à la chevelure claire : blond, châtain clair, roux. Les Trèfles, de couleur noire, représenteront un être aux cheveux foncés : châtains foncés, bruns ou noirs.

Aux Rois et aux Dames fut attribué un âge égal ou supérieur à trente-cinq ans tandis que les Valets et les Huit sont âgés de moins de trente-cinq ans.

Les Rois et les Valets appartiennent au sexe masculin ; les Dames et les Huit, au sexe féminin.

Souvent, le système de personnification primera sur la signification 'emblématique' d’une carte.


La divination par les cartes

L'essentiel du travail de "divination" consiste à utiliser l'intuition et l'écoute active afin de deviner certains éléments de la vie de la personne, qui est ensuite reliée au symbolisme classique des cartes. Les détracteurs assimilent cette pratique à de la pure lecture froide.

La cartomancie, quand elle utilise le tarot, est alors appelée taromancie (et parfois tarologie). Les autres pratiques de cartomancie utilisent principalement des jeux de cartes standards à enseigne française, anglaise ou espagnole.

La cartomancie désigne également l'utilisation de cartes spécifiquement créées pour être utilisées dans des pratiques divinatoires, ces jeux de cartes sont souvent appelées oracles, chacun ayant un nombre de cartes qui lui est propre, ses cartes représentant des prédictions plus ou moins précises, qui peuvent être interprétées dans une combinatoire spécifique. Dans le cas de l'usage de ce type d'oracle, l'interprétation relève plus d'un caractère aléatoire des prédictions que de la sensibilité ou la capacité à créer des interprétations originales du lecteur de carte, ou en tous cas cette sensibilité ou capacité est plus contrainte ou guidés par les éléments représentés sur les cartes.


Correspondance des tarots avec les jeux standards

La pratique de cartomancie française repose majoritairement sur le Jeu des Quatre Couleurs : piques, cœurs, carreaux et trèfles. De nos jours, le jeu de 32 cartes est le plus utilisé en cartomancie suivi du jeu de 52 cartes.

Les quatre emblèmes - deniers, bâtons, épées et coupes - communes aux cartes à enseigne espagnole ou italienne et aux tarots anciens (Tarots italiens et Tarots dits de Marseille) permettraient de comprendre le sens divinatoire des 4 couleurs des cartes à jouer (trèfle, carreau, pique et cœur) que l'on trouve tant sur le Tarot à Jouer que sur les jeux de 52 et de 32 cartes. Le rapport des couleurs modernes avec les couleurs anciennes ne fait pas consensus, les études historiques du tarot confirment les correspondances Coupes/Cœurs et Epées/Piques, et affirme plus clairement une évolution des Bâtons en Trèfles et des deniers en Carreaux, alors que certaines pratiques de cartomancie préféreraient voir une correspondance des bâtons aux carreaux et des deniers aux trèfles.

Source : wikipedia